11 July 2006

La déception continue sur le coup de boule

Not a single paper dared to point out Zizou's nasty fall. He is too much of a deity (around the world) that the press will not point fingers at him and accuse him of being selfish, unprofessional, disrespectful of football. I can go on for hours. I am furious.

- Sa réaction est compréhensible, tant il a subi le combat constant des défenseurs italiens, mais pas excusable. (L'équipe)

- -Pierre Escalettes ne veut même pas le savoir. «Mettons nous à la place des gens. Il ne faut pas critiquer sans arrêt, il faut essayer de comprendre, a indiqué le président de la FFF. [...] Escalettes «n'excuse pas» le geste du capitaine tricolore mais «il ne le blâme pas». « Ça nous est arrivé à d'autres niveaux, là c'est en finale de la Coupe du monde, mais ne tirons pas sur l'artiste.» (l'équipe)

- Jacques Chirac a rendu un hommage appuyé à leur "exceptionnel" capitaine Zinedine Zidane. "Cher Zinedine Zidane, ce que je veux dire, au moment le plus intense peut-être, à un moment dur de votre carrière, c'est l'admiration, c'est l'affection de la nation tout entière, son respect aussi", a lancé le président, saluant un "virtuose", un "génie du football mondial" doublé d'un "homme de coeur, d'engagement, de conviction".

Comme sourd à cet hommage au lendemain de son expulsion à la 111e minute de la finale sur carton rouge, Zinedine Zidane avait l'air fermé, la tête baissée, les yeux rivés au sol. L'ancien champion du monde 1998 prend sa retraite sportive à l'issue de ce Mondial. (Libé)

At the very least:
- Réponse, c'est promis, dans quelques jours. Selon son agent, Alain Miggliaccio, Zinédine Zidane devrait très bientôt s'expliquer sur les raisons de son acte. Le Français a expliqué à son agent que "Materazzi avait dit quelque chose de très grave mais il n'a pas dit quoi". "C'est un homme qui normalement laisse passer au-dessus de lui ces choses mais, dimanche soir, quelque chose a explosé en lui, a poursuivi l'agent de Zidane. Il était très déçu et triste. Il ne voulait pas que ça se termine comme ça". (Le Monde, 10/07/2006)

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